Des vies parallèles à la verticale
Des vis-à-vis à l'horizon
Sous les pendulaires coulés dans l'asphalte
Une fourmilière de béton
Un homme à la ville
Homme sans repères
Noyé dans la pierre
Hystérie inutile
Pour quelques lumières
Viens la nuit, viens la nuit
Viens la nuit blanche
Qu'on oublie, qu'on oublie
Qu'on se débranche
Sous la pluie, sous la pluie de nos étreintes
Sous la pluie, laissons nos empreintes
Dеvant les vitrines, les rеflets d'argent
D'une marée humaine à l'affût
Partout sur les murs des flacons géants
Et dessous des ombres à la rue
Un homme à la ville
Homme sans visage
Inondé d'images
Hystérie inutile
Pour de l'or en cage
Viens la nuit, viens la nuit
Viens la nuit blanche
Qu'on oublie, qu'on oublie
Qu'on se débranche
Sous la pluie, sous la pluie de nos étreintes
Sous la pluie, laissons nos empreintes
Laissons nos empreintes
Nos empreintes
Viens la nuit, viens la nuit
Viens la nuit blanche
Qu'on oublie, qu'on oublie
Qu'on se débranche
Sous la pluie, sous la pluie de nos étreintes
Sous la pluie, laissons nos empreintes
Viens la nuit, viens la nuit
Viens la nuit blanche
Qu'on oublie, qu'on oublie
Qu'on se débranche
Sous la pluie, sous la pluie de nos étreintes
Sous la pluie, laissons nos empreintes
Viens la nuit, viens la nuit
Viens la nuit blanche
Qu'on oublie, qu'on oublie
Qu'on se débranche
Sous la pluie, sous la pluie de nos étreintes
Dans la pluie, laissons nos empreintes
Laissons nos empreintes