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Andreas Lecter - Trystan Lyrics

[Refrain : Théo GOUDE]
J’regarde les journées défiler
Les secondes passent comme des années
Minutes m’épuisent, sont falsifiées
Mais on m’dit d’jouer la durée

J’regarde les journées défiler
Tant d’âmes pas d’endroits pour prier
La vie, les roses sont toutes fanées
On t’dis t’inquiète joue la durée

Vis sans soucis
Mais fais pas d’bruit
Rêve impossible
S’éteint sans briller

[Couplet 1 : Clédor]
J’compte plus les heures à m’perfеctionner
À la quête d’un succès d’estimе
Mon cœur prend cher j’dois l’soudoyer, c’est pour ça qu’j’m’exprime
Solo depuis des années, personne n’a su m’rendre la pareille
Fais d’ton mieux pour survivre face à cette paresse
Dans chaque fou se cache un sage ouais
On s’égare à défaut d’vivre nos vies, on témoigne sur des pages
J’ai gratté tout un skeud pensant qu’les plaies seraient remodelables
Faudrait être surhumain pour vivre sans états d’âme
Goddamn
[Refrain : Théo GOUDE & Clédor]
J’regarde les journées défiler
Les secondes passent comme des années
Minutes m’épuisent, sont falsifiées
Mais on m’dit d’jouer la durée

J’regarde les journées défiler
Tant d’âmes pas d’endroits pour prier
La vie, les roses sont toutes fanées
On t’dis t’inquiète joue la durée

Vis sans soucis
Mais fais pas d’bruit
Rêve impossible
S’éteint sans briller

[Couplet 2 : Théo GOUDE]
J’ai, des choses à dire mais elles sont dures à dire
J’regarde autour de moi, je broie du noir, j’m’attends au pire
La crise humaine s’amplifie, ça pleure les bars, ça tape une bière
Ou un Fifa, histoire d’se plaindre, remplir nos oreilles d’cire

Ces temps-ci j’regarde ma Butte Bergeyre
Est c’qu’y’a deux semaines c’gars-là tapait des pieds autant, pourquoi j’l’ai jamais vu avant?
Est c’que les humains ignorent ou résistent ?
Dans les deux cas, j’suis persuadé qu’notre moteur mère est cynique
J’repense à Valhalla, y t’disent faut pas vivre dans la peur
À mes yeux, ils courent pour tous abriter la douleur
Sans vie y’a pas de mort, et sans mort, aucun remords
Mon regard se désamorce, faudrait être surhumain pour accepter son sort

[Pont : Théo GOUDE]
Ha-ha ha-ha-ha-ha ha-ha-ha-ha
Ouh-ouh ouh-ouh-ouh-ouh ouh-ouh-ouh-ouh

[Refrain : Théo GOUDE & Clédor]
J’regarde les journées défiler
Les secondes passent comme des années
Minutes m’épuisent, sont falsifiées
Mais on m’dit d’jouer la durée

J’regarde les journées défiler
Tant d’âmes pas d’endroits pour prier
La vie, les roses sont toutes fanées
On t’dis t’inquiète joue la durée

Vis sans soucis
Mais fais pas d’bruit
Rêve impossible
S’éteint sans briller

S’éteint sans briller
S’éteint sans briller
S’éteint sans briller