Alpha Blondy, cuyo nombre real es Seydou Koné, nació el 1 de enero de 1953 en Dimbokro, Costa de Marfil. Creció en una familia musulmana, rodeado de una riqueza cultural y una fuerte influencia religiosa que moldearon su carácter y su música.
Desde temprana edad, Seydou mostró un interés profundo por la música y aprendió a tocar varios instrumentos. Sus primeras experiencias musicales se dieron en el coro de la iglesia y en fiestas locales, donde se fue consolidando su talento y pasión por el arte sonoro. A medida que crecía, su curiosidad lo llevó a explorar géneros variados, como el rock, el blues y, finalmente, el reggae.
En los años 70, el joven Seydou decidió ir a los Estados Unidos para continuar su educación. Estudió en la Universidad de Columbia en Nueva York, donde sus conexiones con la diáspora africana y la efervescente escena musical local fortalecieron su inclinación por el reggae. Bob Marley y Burning Spear se convirtieron en sus referentes musicales, inspirando el futuro desarrollo de su propio estilo único.
Después de una serie de experiencias que lo acercaron más a la espiritualidad rastafari, el joven artista adoptó el nombre artístico de Alpha Blondy, que en diula significa literalmente "primer bandido". Este nombre no solo marcó el comienzo de su carrera profesional sino también un compromiso con el activismo y la justicia social.
En 1982, Alpha Blondy regresó a
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J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier, oh non, non
J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier, ou… ou…
Partout à travers mon beau pays
Ils ont mis ma tête à prix
Parce qu’ils veulent m’inculper
Pour la mort d’un pauvre brigadier
Pour avoir tué un pauvre brigadier
Mais je jure
J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier, oh non, non
J’ai tué le commissaire
Mais j’étais en légitime défense, ou… ou…
Commissaire John Brown m’a toujours haï
Pourquoi ?
Je ne sais vraiment pas
Mais chaque fois que j’ai planté une petite graine
Il me dit : « Tue-la avant qu’elle ne pousse »
Il me dit : « Tue-les, tue-les toutes avant qu’elles ne grandissent »
C’est pourquoi
J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier, oh non, non
J’ai tué le commissaire
La peine capitale sera ma sentence, ou… ou…
Un jour je me suis senti si libre
J’ai voulu quitter la ville
Quand soudain j’ai vu, j’ai vu Commissaire John Brown
Il essayait de froidement me liquider
Il voulait tout simplement m’exécuter
Mais tant pis pour lui
C’était moi ou lui
Si je suis coupable, je vais payer
J’ai tué le commissaire, oh Lord
Mais je n’ai pas tué son brigadier
Ou était le brigadier ? oh non, non
J’ai tué le commissaire
Mais j’étais en légitime défense, ou… ou…
Les réflexes font partie de moi
Adviendra que pourra
À force de tirer sur la corde
Tôt ou tard elle finit par casser
Un jour ou l’autre, elle finira par casser
Et
J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier, oh non, non
Ou était le brigadier
J’ai tué le commissaire
Mais je n’ai pas tué son brigadier
Non, je n’ai pas tué le brigadier
J’ai tué le commissaire
J’ai tué le commissaire, eh eh eeeh eh
Oh, non, non
Je n’ai pas tué son brigadier
J’ai tué le commissaire
Qu’on se le dise une fois pour toutes, ou… ou..
Oh, Lord